Mon Voisin Et Son Cadeau DAdieu
Contrairement à aux précédent épisodes, celui-ci est un pur récit imaginaire, histoire de clôturer mon épisode dans mon premier appart à Brest.
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Javais retrouvé un nouvel appart car depuis la honte que jai eut ce soir là en croisant à demi nue mes voisins, il était temps que je parte pour éviter une sale réputation.
Je recroisa mon voisin, toujours avec Isidore, son chien, il me regardait maintenant dun air lubrique à chaque fois, me rappelant la fois ou il ma baisé chez lui (NDRL : lire « j'ai fait connaissance avec mon voisin... »).
Ce jour là, il maborda : « Alors tu pars ? Tas pas envie dune dernière fois ? Tas pas envie de sentir la grosse queue à Bernard ? »
Le salop
Il vient de me mettre la main aux fesses ! Et moi, je ne réagis pas !
- A demain soir
Et il reparti chez lui.
Je rentrai chez moi, et troublée, je me my a me caresser, en imaginant son engin, sa bite énorme en moi
La journée a été bizarre... que faire y aller ou non. Ses manières brusques me hantèrent
Vers 21h30, je franchis le pas
habillée dun top moulant et dun jeans, je sonnais à sa porte.
Jentendis à travers la porte, le chien aboyer, et son maitre crier, « Entre Mary la cochonne ! »
Je tressaillis. Jy vais ou je ny vais pas. Allez, go.
- Viens dans le salon.
Je me rendis dans son salon, il était en peignoir devant un film porno.
- Viens Mary, je sais que tas peur, mais tu mouilles comme une chienne.
Il navait pas tort.
- Viens, retire ton pantalon. Et assoie toi.
Je mexécutais, jenlevais mon jean, et alla sur le canapé.
- Regarde moi cette salope avec cette grosse queue dans son cul.
Il me parlait du film quil regardait. Effectivement, Elle prenait un pieu dans sa petite chatte.
- Regarde bien et pense à ma queue.
Il sen alla, me laissant regarder le film.
Mon voisin revint quelques instants plus tard avec une bouteille de martini.
- Je sais que taimes ça et puis, faut fêter ton départ !
- Merci, répondis-je, en rougissant.
Il sinstalla en face de moi, dos à sa télé.
- Tas un nouveau petit copain dis moi, je lai croisé sortant de chez toi il y a 10 jours, mais tu viens quand même voir Bernard et sa bite
Il ne doit pas te satisfaire.
- En fait, si. Il est très bon. Mais
- Mais tas envie dêtre baisée comme une chienne.
- Oui
javoue
- Héhé, toutes les mêmes quand il sagit de se faire prendre.
Je le regardais, son peignoir laissait apparaître sa très large queue.
- Tu ne regardes plus le film ? tas trouvé un autre centre dintérêt ?
- Oui
je nai jamais vu ça avant
- Caresses toi, et bois un autre verre. !
Et il avala le sien, je fis de même.
- Dites moi Monsieur Bernard, je peux vous poser une question ?
- Hum, tes curieuse, vas-y.
- Bien
Comment
-jhésitais une peu- vous faites pour tenir aussi longtemps
Cette question, elle mobsédait presquautant que sa queue
- Tu veux savoir ? ou tu veux y regoûter ?
- Les deux
répondis-je en finissant mon second verre.
Il ouvrit son peignoir et sa queue mapparue toute entière. Jeus une nouvelle fois une tête étonnée en revoyant sa taille.
- Retire tes fringues, ma cochonne, et viens me sucer. Ten meures denvie.
Jenlevais mon petit top et dégrafais mon soutien gorge, libérant mes seins. Mon string descendit le long de mes jambes.
Je maccroupis et me mis entre ses jambes, le visage à la hauteur de son immense queue.
- Remontre-moi tes talents de suceuse.
Je pris, comme religieusement ce sexe dans mes mains, il était chaud, un peu mou, mais toujours aussi large.
- Allez, te fais pas prier, SUCE MOI SALOPE !
Et il attrapa mes cheveux et enfourna sa bite dans ma bouche.
- Humm, voilà qui est mieux. Ton copain doit être aux anges quand tu le suces...
Je sentis que jallais une nouvelle fois subir ses assauts
mais javais accepté
Pendant que je tentais de prodiguer une fellation, tout en étant maintenu par les cheveux, il me parla.
- Cest dingue, tes vraiment une cochonne car tu reviens, tu sais que tu vas être baisée comme une chienne et tes là, devant moi à nouveau en train de sucer celle qui va te défoncer ton cul une nouvelle fois.
- Hhhmmfff
- Suce ma bite, tu las sens bien dure, hein !
- Mmmmpppppfffff
Oui, elle était bien dure, elle me déformait la bouche.
Il décida dimprimer le rythme, je me mis à baver, à tousser, mais non, il me baisa la bouche. Cétait douloureux, mais au fond de moi, jaimais ça, jaimais obéir et être sauté comme ça.
- Tu laimes la bite de ton voisin, hein !
- Mmmmffffff
- Tu vas la prendre dans ton cul de salope !
Et sans me prévenir, il se dégagea de ma bouche se leva, et magrippa par les cheveux mentrainant une nouvelle fois dans sa chambre.
Sur le dos, les jambes écartées, il approcha sa bite toute mouillée de ma bave, de ma chatte. Il me regarda lair très sur de lui, vicieux. Et sans vraiment me prévenir, changeant de trou et poussa fort à lentrée de mon petit trou !
- Nan !!! je ne suis pas prête !!!!
- Ta gueule, cest moi qui décide et jai décidé de tenculer, Salope !
Je pris vraiment peur, son gland força le passage me faisant lâcher un cri de douleur
- Je vais te bourrer ton cul de salope !
- Haaaaan !!!!
Le salop, son immense bite rentra complètement dans mon cul, jen avais rêvé, mais là
Il pouvait faire de moi ce quil voulait, je noffrais plus de résistance, et il le savait.
A chaque coup, il marrachait un cri de plaisir ! Mes seins se secouaient lexcitant dautant plus.
- Alors, tu veux savoir comment ton voisin fait pour baiser aussi longtemps ?
- Ouiiiii
.
- Les pilules bleues. Elles sont magiques. Jen prends sur conseils dun ami. Dailleurs il ne devrait plus tarder.
Quoi ? Ils vont être deux ?
- Tes inquiètes salope ? Taimes la bite, et là ten auras deux !
En effet, il avait raison, une voix se fit entendre.
- Bernard, cest Didier, Comme ça crie déjà pas mal, tu dois baiser ta salope de voisine !
- Oui viens, je lencule cette salope !
Et le Didier entra dans la pièce. Un peu plus grand que mon voisin, II devait avoir approximativement le même âge. Il se déshabilla à son tour et moffrit une queue de bonne taille à sucer, mais qui navait rien à voir avec celle qui me déflorait la rondelle.
- Humm laisse la un peu respirer, Elle peut pas me sucer si tu baises trop fort.
- Mais si, tiens lui la tête et enfourne ta queue dans sa bouche.
Les salops. Jétouffais littéralement.
- Elle est bien jeune ta salope. Et puis tas raison, elle sait sucer !
- On va la faire hurler toute la nuit cette petite garce. Elle va sen souvenir de son départ !
Didier malaxait mes seins, il me donna des claques dessus. Mes deux assaillants parlèrent entre eux, mhumiliant un peu plus.
Ils échangèrent les rôles, Bernard regardait son ami me défoncer alors que jétais à quatre pattes, mes cris devaient se faire entendre dans limmeuble.
- On va la faire crier encore plus. Salope, viens tempaler ma bite.
Didier sallongea sur le dos, la bite dressée.je lenjambais et mempalais sur sa queue. Bernard vient derrière moi. Non, il va revenir dans mon petit trou. Et avec une bite déjà en moi
- Vous allez me faire mal
- Tes pas là pour parlez Salope, tas pas le choix, taimes ça, tes quune chienne.
Et Il enfonçait sa queue large et dure en moi.
- Hannnnnnnnnnnnnnnnn
- Crie Salope !!!
- OUIIII !! JE SUIS VOTRE CHIENNE BAISEZ MOI !!!!
Je sentis au bout de longues minutes, Bernard se retirer et viens se placer devant moi et Didier venir derrière.
- Je vais tenvoyer une sacrée purée ma Salope !
Et après sêtre branlé devant mon visage, il lâchait de puissants jets de spermes sur moi.
- Prends ça saloooooooooooooooooope !!
Didier me besogna encore longtemps avant de lui aussi lâcher six ou sept giclées sur mon visage.
Jétais épuisée, Bernard allait-il me lâcher comme la dernière fois ? Il sapprocha de moi et me dit à loreille :
- Suce la bite à Bernard.
Et Il menfonça de nouveau sa bite entre mes lèvres. Il rebandait comme un taureau !
- Cest vraiment magique ces pilules !
Je compris quils nallaient pas me lâcher avant que leurs queues se mettent au repos
Vers 5h du matin, après avoir été sodomisée à maintes reprises, fessée, insultée, ils me firent sortir de lappartement. Javais mal au cul, javais lodeur de la sueur, et le goût de leur foutre dans la bouche, mes seins étaient tous collants. Je rentrais dans mon appartement et me dirigea vers ma chambre.
- Cest toi Mary ? Je suis passé te voir, jai essayé de tappeler, sans succès.
Mon copain était dans ma chambre. Je nosais pas allumer.
- Ça va ?
- Oui...oui
attends, je me démaquille ( !), prends une douche et jarrive.
Une fois passée sous la douche rapidement, je le rejoignis.
Il me dit :
- Ton voisin a remis ça ! Il a défoncé une bonne grosse salope, vu comment elle criait ! ça ma donné envie... Suce-moi, fais ta coquine. Ma queue est bien raide
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