Mon Voisin Et Son Cadeau D’Adieu

Contrairement à aux précédent épisodes, celui-ci est un pur récit imaginaire, histoire de clôturer mon épisode dans mon premier appart à Brest.
--- --- --- ---

J’avais retrouvé un nouvel appart car depuis la honte que j’ai eut ce soir là en croisant à demi nue mes voisins, il était temps que je parte pour éviter une sale réputation.

Je recroisa mon voisin, toujours avec Isidore, son chien, il me regardait maintenant d’un air lubrique à chaque fois, me rappelant la fois ou il m’a baisé chez lui (NDRL : lire « j'ai fait connaissance avec mon voisin... »).

Ce jour là, il m’aborda : « Alors tu pars ? T’as pas envie d’une dernière fois ? T’as pas envie de sentir la grosse queue à Bernard ? »

Le salop… Il vient de me mettre la main aux fesses ! Et moi, je ne réagis pas !
- A demain soir …
Et il reparti chez lui.

Je rentrai chez moi, et troublée, je me m’y a me caresser, en imaginant son engin, sa bite énorme en moi…

La journée a été bizarre... que faire y aller ou non. Ses manières brusques me hantèrent … Vers 21h30, je franchis le pas… habillée d’un top moulant et d’un jeans, je sonnais à sa porte.
J’entendis à travers la porte, le chien aboyer, et son maitre crier, « Entre Mary la cochonne ! »
Je tressaillis. J’y vais ou je n’y vais pas. Allez, go.

- Viens dans le salon.
Je me rendis dans son salon, il était en peignoir devant un film porno.
- Viens Mary, je sais que t’as peur, mais tu mouilles comme une chienne.
Il n’avait pas tort.
- Viens, retire ton pantalon. Et assoie toi.
Je m’exécutais, j’enlevais mon jean, et alla sur le canapé.
- Regarde moi cette salope avec cette grosse queue dans son cul.
Il me parlait du film qu’il regardait. Effectivement, Elle prenait un pieu dans sa petite chatte.
- Regarde bien et pense à ma queue.
Il s’en alla, me laissant regarder le film.

Inconsciemment, une main se glissa entre mes cuisses…
Mon voisin revint quelques instants plus tard avec une bouteille de martini.
- Je sais que t’aimes ça et puis, faut fêter ton départ !
- Merci, répondis-je, en rougissant.
Il s’installa en face de moi, dos à sa télé.
- T’as un nouveau petit copain dis moi, je l’ai croisé sortant de chez toi il y a 10 jours, mais tu viens quand même voir Bernard et sa bite… Il ne doit pas te satisfaire.
- En fait, si. Il est très bon. Mais…
- Mais t’as envie d’être baisée comme une chienne.
- Oui… j’avoue…
- Héhé, toutes les mêmes quand il s’agit de se faire prendre.
Je le regardais, son peignoir laissait apparaître sa très large queue.
- Tu ne regardes plus le film ? t’as trouvé un autre centre d’intérêt ?
- Oui… je n’ai jamais vu ça avant…
- Caresses toi, et bois un autre verre. !
Et il avala le sien, je fis de même.
- Dites moi Monsieur Bernard, je peux vous poser une question ?
- Hum, t’es curieuse, vas-y.
- Bien… Comment … -j’hésitais une peu- vous faites pour tenir aussi longtemps
Cette question, elle m’obsédait presqu’autant que sa queue…
- Tu veux savoir ? ou tu veux y regoûter ?
- Les deux…répondis-je en finissant mon second verre.
Il ouvrit son peignoir et sa queue m’apparue toute entière. J’eus une nouvelle fois une tête étonnée en revoyant sa taille.
- Retire tes fringues, ma cochonne, et viens me sucer. T’en meures d’envie.
J’enlevais mon petit top et dégrafais mon soutien gorge, libérant mes seins. Mon string descendit le long de mes jambes.
Je m’accroupis et me mis entre ses jambes, le visage à la hauteur de son immense queue.
- Remontre-moi tes talents de suceuse.
Je pris, comme religieusement ce sexe dans mes mains, il était chaud, un peu mou, mais toujours aussi large.
- Allez, te fais pas prier, SUCE MOI SALOPE !
Et il attrapa mes cheveux et enfourna sa bite dans ma bouche.

- Humm, voilà qui est mieux. Ton copain doit être aux anges quand tu le suces...
Je sentis que j’allais une nouvelle fois subir ses assauts… mais j’avais accepté…
Pendant que je tentais de prodiguer une fellation, tout en étant maintenu par les cheveux, il me parla.
- C’est dingue, t’es vraiment une cochonne car tu reviens, tu sais que tu vas être baisée comme une chienne et t’es là, devant moi à nouveau en train de sucer celle qui va te défoncer ton cul une nouvelle fois.
- Hhhmmfff…
- Suce ma bite, tu l’as sens bien dure, hein !
- Mmmmpppppfffff
Oui, elle était bien dure, elle me déformait la bouche.
Il décida d’imprimer le rythme, je me mis à baver, à tousser, mais non, il me baisa la bouche. C’était douloureux, mais au fond de moi, j’aimais ça, j’aimais obéir et être sauté comme ça.
- Tu l’aimes la bite de ton voisin, hein !
- Mmmmffffff…
- Tu vas la prendre dans ton cul de salope !
Et sans me prévenir, il se dégagea de ma bouche se leva, et m’agrippa par les cheveux m’entrainant une nouvelle fois dans sa chambre.
Sur le dos, les jambes écartées, il approcha sa bite toute mouillée de ma bave, de ma chatte. Il me regarda l’air très sur de lui, vicieux. Et sans vraiment me prévenir, changeant de trou et poussa fort à l’entrée de mon petit trou !
- Nan !!! je ne suis pas prête !!!!
- Ta gueule, c’est moi qui décide et j’ai décidé de t’enculer, Salope !
Je pris vraiment peur, son gland força le passage me faisant lâcher un cri de douleur…
- Je vais te bourrer ton cul de salope !
- Haaaaan !!!!
Le salop, son immense bite rentra complètement dans mon cul, j’en avais rêvé, mais là… Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, je n’offrais plus de résistance, et il le savait.
A chaque coup, il m’arrachait un cri de plaisir ! Mes seins se secouaient l’excitant d’autant plus.
- Alors, tu veux savoir comment ton voisin fait pour baiser aussi longtemps ?
- Ouiiiii….
répondis-je entre deux cris.
- Les pilules bleues. Elles sont magiques. J’en prends sur conseils d’un ami. D’ailleurs il ne devrait plus tarder.
Quoi ? Ils vont être deux ?
- T’es inquiètes salope ? T’aimes la bite, et là t’en auras deux !
En effet, il avait raison, une voix se fit entendre.
- Bernard, c’est Didier, Comme ça crie déjà pas mal, tu dois baiser ta salope de voisine !
- Oui viens, je l’encule cette salope !
Et le Didier entra dans la pièce. Un peu plus grand que mon voisin, II devait avoir approximativement le même âge. Il se déshabilla à son tour et m’offrit une queue de bonne taille à sucer, mais qui n’avait rien à voir avec celle qui me déflorait la rondelle.
- Humm laisse la un peu respirer, Elle peut pas me sucer si tu baises trop fort.
- Mais si, tiens lui la tête et enfourne ta queue dans sa bouche.
Les salops. J’étouffais littéralement.
- Elle est bien jeune ta salope. Et puis t’as raison, elle sait sucer !
- On va la faire hurler toute la nuit cette petite garce. Elle va s’en souvenir de son départ !
Didier malaxait mes seins, il me donna des claques dessus. Mes deux assaillants parlèrent entre eux, m’humiliant un peu plus.
Ils échangèrent les rôles, Bernard regardait son ami me défoncer alors que j’étais à quatre pattes, mes cris devaient se faire entendre dans l’immeuble.
- On va la faire crier encore plus. Salope, viens t’empaler ma bite.
Didier s’allongea sur le dos, la bite dressée.je l’enjambais et m’empalais sur sa queue. Bernard vient derrière moi. Non, il va revenir dans mon petit trou. Et avec une bite déjà en moi…
- Vous allez me faire mal…
- T’es pas là pour parlez Salope, t’as pas le choix, t’aimes ça, t’es qu’une chienne.
Et Il enfonçait sa queue large et dure en moi.
- Hannnnnnnnnnnnnnnnn
- Crie Salope !!!
- OUIIII !! JE SUIS VOTRE CHIENNE BAISEZ MOI !!!!
Je sentis au bout de longues minutes, Bernard se retirer et viens se placer devant moi et Didier venir derrière.

- Je vais t’envoyer une sacrée purée ma Salope !
Et après s’être branlé devant mon visage, il lâchait de puissants jets de spermes sur moi.
- Prends ça saloooooooooooooooooope !!
Didier me besogna encore longtemps avant de lui aussi lâcher six ou sept giclées sur mon visage.
J’étais épuisée, Bernard allait-il me lâcher comme la dernière fois ? Il s’approcha de moi et me dit à l’oreille :
- Suce la bite à Bernard.
Et Il m’enfonça de nouveau sa bite entre mes lèvres. Il rebandait comme un taureau !
- C’est vraiment magique ces pilules !
Je compris qu’ils n’allaient pas me lâcher avant que leurs queues se mettent au repos …
Vers 5h du matin, après avoir été sodomisée à maintes reprises, fessée, insultée, ils me firent sortir de l’appartement. J’avais mal au cul, j’avais l’odeur de la sueur, et le goût de leur foutre dans la bouche, mes seins étaient tous collants. Je rentrais dans mon appartement et me dirigea vers ma chambre.
- C’est toi Mary ? Je suis passé te voir, j’ai essayé de t’appeler, sans succès.
Mon copain était dans ma chambre. Je n’osais pas allumer.
- Ça va ?
- Oui...oui… attends, je me démaquille ( !), prends une douche et j’arrive.
Une fois passée sous la douche rapidement, je le rejoignis.
Il me dit :
- Ton voisin a remis ça ! Il a défoncé une bonne grosse salope, vu comment elle criait ! ça m’a donné envie... Suce-moi, fais ta coquine. Ma queue est bien raide…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!